Vers la sanction des « fake news » sur internet?

Propagation des fake news dans tous les réseaux sociaux

Depuis longtemps, la diffusion de fake news n’a pas cessé de se répandre peu importe le support, journaux, affiches, bouche à oreille, et aujourd’hui les sites internet, les réseaux sociaux comme google, facebook, twitter. Pour certains, c’est un moyen de cacher des vérités sur un fait ou une personne, pour d’autres c’est juste pour leur droit de liberté d’expression, sujet encore compliqué aujourd’hui, ou tout simplement des imaginations qui ne sont donc pas réelles mais qu’ils souhaitent juste partager. Le développement des moyens de communication fait que tout le monde peut s’exprimer de toutes les manières possibles, seulement les fake news se remarquent de pire en pire notamment sur le plan politique et sur le plan social. Les réseaux sociaux l’ont d’ailleurs montré. Dans la plupart des cas, les auteurs de ces fake news arrivent jusqu’à truquer des images ou des textes et les publient comme s’ils provenaient d’une source réelle, c’est grave, et ce qui est dommage c’est que beaucoup de gens se font tromper et ne réalisent plus l’exactitude ou mensonge que cachent ces informations.

Sanction d’emprisonnement pour les diffuseurs de fake news

Aujourd’hui, des millions d’internautes sont connectés 24h sur 24h et 7 jours sur 7. Parmi eux sont les auteurs, diffuseurs des fake news, et d’autres les lecteurs ou suiveurs. Il n’a plus été toléré que les fake news fassent la une des réseaux sociaux, que la Sénatrice Nathalie Goulet s’est décidée de prendre la main dessus. Elle a fait une proposition de loi pour punir la diffusion de fake news. A cet effet, un an d’emprisonnement et un certain montant d’amende sont la sanction de celui ou celle qui est à l’origine de ces fake news. Mais ce n’est pas tout, un texte a prévu aussi un stage de citoyenneté qui accompagne ces peines en plus d’une interdiction aux droits civiques.